Balade Fagopyrum, blé noir d’hier et d’aujourd’hui en massif armoricain
Une culture de l’identité bretonne attestée dès le début du XVIe siècle sur notre territoire.
Une balade dans des chemins creux préservés, où eau et schiste rouge affleurent et confère au paysage sa beauté.
Une balade nature autour du renouveau du blé noir, un sarrasin breton bio adapté au climat, au sol, sans engrais ni pesticides, sobre en eau et aux qualités nutritionnelles inégalées !
Les botanistes nomment le blé noir Fagopyrum.
Nous avons donné son nom à cette balade emblématique sur le blé noir.
Une magnifique balade Fagopyrum, autour de la culture du blé noir d’hier et d’aujourd’hui en massif armoricain
dimanche 19 septembre, en journée, départ 10:30.

Une belle balade nature, pour découvrir
paysages, géologie, histoire, biodiversité et modernité
Dans le cadre de l’opération voyage en terre bio, avec le concours du conseil participatif de Pont-Péan, deux producteurs locaux bio de Pont-Péan proposent de vous accompagner à la découverte de paysages agraires insoupçonnés et pourtant si proches de nous. Manon et Pierre-Yves Héluard de la ferme de la Maussonnière en polyculture et spécialisés dans la culture du blé noir (Du grain au pétrin…) et Olivier Mosset, le maraîcher bio de la Touche Audiene, vous donnent rendez-vous à Pont-Péan, à la Maussonière, route de Laillé, sur le futur lieu de vente à la ferme. Si le temps le permet, un pique-nique partagé est prévu dans les champs. Il vous permettra d’admirer du haut des falaises de schiste rouge, non loin de l’ancienne ferme de Caran à Pont-Péan, la vue imprenable sur Rennes et les communes voisines.
Une balade à travers le temps
C’est aussi une belle balade à travers le temps, le temps du néolithique où l’on inventa l’agriculture, nos mégalithes oubliés en sont les témoins. Bien avant l’arrivée des Celtes, les populations néolithiques avaient structuré la région par un réseau de voies de communication et de chemins parfois jalonnés par des mégalithes. C’est aussi le temps où Pont-Péan n’était encore qu’un village de la paroisse de Saint-Erblon, où résidait à Château-Létard l’écrivain local de la renaissance Noël du Fail, souvent comparé à Rabelais. Dans ses contes et discours d’Eutrapel, il précise en 1585, que le « bled noir » ou « froment noir » ou « sarrasin » « nous est venu depuis soixante ans, sans ce grain, les pauvres gens de ce pays auraient beaucoup à souffrir, combien ils amaigrissent fort la terre« . En 1525, le blé noir assurait donc déjà la subsistance des paysans sur notre territoire aux portes de Rennes. Sa culture et son utilisation dans l’atténuation des crises frumentaires ont contribué à l’expansion démographique de la Bretagne et à son développement économique.
Une balade de la modernité aux champs autour des enjeux agricoles et environnementaux
Cette balade posera aussi la question de la révision des idées reçues sur la « modernité aux champs ». Elle se fera en continuité avec le ciné-débat « Secrets des champs » du 16 septembre à l’Espace Beausoleil de Pont-Péan. Fagopyrum est aussi une balade porteuse de questionnements sur les logiques écosystémiques, sur la reterrorialisation de la question alimentaire, sur la cohérence des « systèmes agraires », voire de reposer la question de la « nature ». Les enjeux agricoles et environnementaux, ne peuvent être occultés d’autant que la demande sociale de sanctuarisation des paysages et de contrôle de la qualité alimentaire n’a jamais été aussi forte, notamment aux frontières de l’urbain.
Le paysage de nos jours est dans notre civilisation, de plus en plus communément considéré comme une valeur, comme l’élément d’un patrimoine que nous ont légué nos devanciers et que nous avons devoir de ne pas dilapider, un élément fondamental, à la fois précieux, fragile et menacé.
Études rurales Année 1991 – Georges Duby
Paysage au sud de Rennes : le socle du massif armoricain : le schiste rouge, ses failles et un réseau de chemins parfois jalonnés par des mégalithes érigés au néolithique période de l’invention de l’agriculture


Ille-et-Vilaine – 1866
source : Mine Paris Tech
Pour Pont-Péan
Argile et Grauwacke, Diorite de la faille de Pont-Péan, Schiste rouge armoricain à Caran

Fagopyrum est une balade de lecture des paysages au travers les temps géologiques du massif armoricain. La présence du schiste rouge, de grès et de la faille de Pont-Péan qui a marqué l’histoire de la Bretagne industrielle seront évoqués, tout comme la création des chemins que nous emprunterons.

Bien avant l’arrivée des Celtes, les populations néolithiques avaient structuré la région par un réseau de voies de communication parfois jalonnées par des mégalithes. Le schiste rouge ou le quartzite dont sont fait les menhirs qui ponctuent encore les espaces ruraux caractérisent nos paysages au sud de Rennes.
Les historiens du XIXe siècle nous ont laissé pour Pont-Péan, les témoignages du menhir probablement en quartzite érigé encore en 1830 à la Croix. Tout près du chemin de balade, le menhir couché de la Pierre-qui-Chôme en Laillé, est lui en schiste rouge, comme bon nombre de mégalithes au sud de Rennes.
Ils nous permettront aussi d’aborder la naissance de l’agriculture au néolithique. Une invention essentielle, irréversible, définitive, celle de l’agriculture et de l’élevage fait alors son apparition, ce que les archéologues appellent la révolution néolithique. L’agriculture sécurise l’alimentation et permet la sédentarité. Grâce à l’agriculture, la démographie s’accélère et l’homme prend alors le contrôle de la planète et de toutes les espèces biologiques. Si nos mégalithes sur notre territoire n’ont pas la monumentalité inégalée de celui de la Roche-aux-fées à Essé, ils n’en restent pas moins qu’ils sont là comme les témoins sur notre territoire de la présence de l’homme créateur de nos paysages depuis la nuit des temps.
« Saint-Erblon. – Menhir détruit – À 3 kilomètres, à l’ouest du bourg, proche le village de Teslé et le ruisseau du même nom, un menhir de 4 mètres de haut (mentionné par M. Brune dans les Mém. de la Soc. Archéo. d’Ille-et-Vilaine, 1864), qui fut brisé à cette époque, et dont on peut voir encore les débris dans la ferme de la croix , où ils ont été en partie transportés. J’ai pu me procurer quelques fragments de cette pierre et reconnaître qu’elle était en quartzite noirâtre parsemé d’une très grande quantité de petits cristaux de sulfure de fer. Je connais pas de roche de cette nature dans les environs, mais elle pourrait provenir de Pont-Péan. »
par Paul Bézier, page 10, Saint-Erblon – inventaire – 1888
sources : Bibliothèque universitaire – Rennes
Vilaine par P. Bézier, membre de la société d’archéologie d’Ille-et-Vilaine publication Imprimerie de Ch. Catel et Cie, 1888
Paysage au sud de Rennes : bocage, blé noir, marqueurs de l’identité bretonne

Paysage et bocage
Les paysages que l’on cherche à protéger ont très souvent été le résultat de projets de société intégrant la beauté et les symboles des valeurs d’une époque à la recherche de solutions techniques.
Pour répondre aux enjeux de notre époque, ces espaces remarquables qui ont traversé les siècles nous amènent à rechercher dans les politiques d’aménagement une alliance entre les approches techniques, sociales et esthétiques. Il s’agit de créer de véritables paysages contemporains de qualité qui ne soient ni nostalgiques, ni de simples décors sans lien aux territoires.
Aujourd’hui, face au changement climatique et dans le cadre de la reconquête de l’eau, il y a nécessité impérieuse à reconstruire le bocage détruit drastiquement par le remembrement et une agriculture de type industrielle depuis les années 60.
À la Maussonnière, les haies plantées dans le cadre du programme Breizh bocage par le SMBV, comportent les essences suivantes : noisetier, érable champêtre, charme, châtaignier, chêne sessile. En raison du changement climatique, le chêne pédonculé, une des richesses de Pont-Péan, a laissé place au chêne sessile et les hêtres qui ne supportent pas les sécheresses sont désormais oubliés.
Fagopyrum, le blé noir ou sarrasin

Fagopyrum, le blé noir
Niche agraire pédologique et climatique, cycle court et décalé, plante de remplacement, une floraison en continu et des mécanismes de défenses intrinsèques
La lecture du paysage, c’est aussi une porte ouverte sur l’histoire de nos sociétés rurales passées, ici au crible du sarrasin, en abordant sa place dans les systèmes agraires sous l’ancien régime jusqu’au XIXe siècle.
Le blé noir, n’est pas une céréale, mais une polygonacée, au même titre que la rhubarbe et l’oseille. Connu aujourd’hui encore, pour être l’ingrédient des fameuses galettes en pays gallo (Haute-Bretagne) ou crêpes bretonnes en pays bretonnant (Basse-Bretagne), il était également utilisé en bouillie ou pour faire du pain bien qu’il ne soit pas a priori panifiable puisque sans gluten. Chaque « feu » disposait d’un petit moulin à sarrasin, pour produire la farine au-fur-et-à mesure des besoins, évitant ainsi les problèmes de conservation mais aussi ceux inhérents au moulin et au four banaux. Dans une société gérée par le système féodal, ce point revêt aussi une grande importance. Sous l’ancien régime, le froment est la céréale la plus sollicitée par les consommateurs aisés, son prix élevé en fait le grain le plus rémunérateur du royaume. Les facteurs sociologiques et économiques vont donc guider le choix des paysans dans leur culture tout en restant dépendants des éléments naturels.
Jusqu’à la seconde moitié du XIXe siècle, le blé noir se cultive essentiellement sur des sols acides de type granitique ou schisteux. D’un point de vue écologique, un sol acide correspond à une flore acidophile et un sol basique à des plantes alcalinophiles. L’agriculture du XXe siècle a subi des changements technologiques trop importants avec la chimie et la mécanisation pour être comparée avec celle de l’Ancien Régime.
Contrairement à ce qu’on a longtemps cru, le sarrasin n’est pas une nouveauté en Europe à la fin du Moyen Âge : on en a retrouvé des pollens datant de l’Âge de Fer (- 3200) en basse Loire. De nombreuses études palynologiques attestent de sa présence pour les périodes antérieures aux XIIIe et XIVe siècles. Mais il n’est pas certain que la plante Fagopyrum ait été cultivée en système agraire. L’absence de sources écrites laisse à penser qu’il s’agissait de cultures localisées probablement dans les courtils (les jardins). À partir du XIIIe siècle, on trouve quelques références pour les pays du nord-est. À partir de 1500 les mentions deviennent fréquentes en Bretagne. Mais il est fort probable qu’il ait été cultivé en plein champ dès la fin du XVe siècle. Les fouilles archéologiques, place Saint-Anne à Rennes ont montré sa présence dès le XVe siècle sur notre territoire. La première mention écrite du sarrasin pour le Cotentin, remonte à 1460 dans le cartulaire du chapitre cathédral d’Avranches1.
Le Fagopyrum est une plante qui se développe sur des sols défavorables aux céréales. Il comble une niche agraire dans une région qui lui est favorable d’un point de vue pédologique et climatique. Sa fonction dans les assolements, qui se situe entre le travail de jachère et la sole de blé d’hiver était également essentielle. Comme autre avantage, l’absence de pluies pour quelques jours ne lui est pas trop préjudiciable puisqu’il est capable de se réhydrater. En revanche, il ne résiste pas à une sécheresse prolongée pendant l’été. Un stress environnemental d’une courte durée n’est pas forcément catastrophique pour sa future récolte, grâce à sa floraison en continu. Cette dernière commence quatre à six semaines après les semis et perdure jusqu’à la récolte.
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Le cycle court et décalé du blé noir, de mai/juin à septembre/octobre) lui permet de faire face aux intempéries qui s’abattent entre octobre et mai, contrairement aux céréales. Semé début juin et récolté vers septembre, il ne lui faut pas plus d’une centaine de jours pour arriver à terme. Le sarrasin a cet avantage de pouvoir être utilisé comme une plante de remplacement. Si un évènement météorologique vient détruire un champ de céréales avant le mois de juin, il est toujours temps d’y semer du sarrasin.
Le blé noir, après la floraison, a besoin d’un temps plus sec pour que ses graines finissent de mûrir.
Le blé noir a toutefois une floraison et une fructification en continu. Le sarrasin se retrouve donc simultanément pourvu de graines et de fleurs durant sa phase de floraison. Il s’en suit que les grains ne mûrissent pas tous en même temps. Le choix du moment de la récolte est, de ce fait, à l’appréciation du cultivateur. Il doit choisir le moment où une majorité de fruits sont arrivés à terme. Si l’on attend les derniers akènes, les premiers risquent de tomber.
Les paysans de l’Ouest bénéficiaient ainsi de trois récoltes différentes : sarrasin, blé d’hiver (froment ou seigle) et blé de printemps (avoine, orge ou autre). L’utilisation du blé noir, une denrée salvatrice, dans l’atténuation des crises de subsistances a donc contribué à l’expansion démographique de la Bretagne et à son développement économique dès le XVIe siècle.
Le blé noir participait, grâce à la culture en jachères et à un assolement de principe quadriennal en polyculture du type – Jachère-Sarrasin-Seigle-Avoine -, (rotations des cultures), à une gestion des sols adaptée avec une culture qui se développe sur des sols acides défavorables aux céréales. C’était une gestion en polyculture subtile et intelligente qui « amendait » la terre. C’est tout le sens que l’on peut entendre quand Noël du Fail nous dit « Car à la verité, sans ce grain qui nous est venu depuis soixante ans, les pauvres gens de ce païs auroiét beaucoup à souffrir, combien qu’il amaigrisse fort la terre ». Sic.
Le blé noir comble une niche agraire en massif armoricain dans une région qui lui est favorable d’un point de vue pédologique et climatique. Ce système de polyculture permet également de diversifier l’offre et de réduire les risques. Il faudra attendre la seconde moitié du XIXe siècle avec l’utilisation intensive de la chaux qui baisse l’acidité du sol pour permettre au froment de mieux pousser sur les sols acides. L’industrie de La chaux agricole en provenance du graben de Chartres-de-Bretagne et des fours à chaux de Lormandière et de la Chaussairie s’est développée à partir de 1865.
Selon l’historien Michel Nassiet, « son emploi a dû faciliter une augmentation sensible de la superficie en céréales. Il s’en est suivi une certaine expansion démographique dans l’ouest de la France dans les deux premiers tiers du XVIe siècle : la population estimée à 1,25 million vers 1500 passa à 1,74 million vers 1600. C’est grâce au blé noir que les crises de 1709 et 1740 furent moins graves en Bretagne que dans les autres régions« . De plus, les excédents céréaliers orientèrent l’ouest de la France vers la culture du lin sur des parcelles consacrées jusque-là au blé et au seigle. La Bretagne était ainsi devenue une région très prospère lorsqu’elle fut «réunie» à la France à la fin du XVe siècle.
Sources :
SMBV (Étienne GOUËSET, le technicien SMBV) pour les essences plantées
Nassiet Michel, La diffusion du blé noir en France à l’époque moderne, Histoire et Sociétés rurales, n° 9, 1998, p. 57-76
CHAUSSAT Alain-Gilles – Université de Caen Basse-Normandie. CRHQ, UMR-6583 et Pôle Rural de la MRSH de Caen – Thèse : Les populations du Massif armoricain au crible du sarrasin. Étude d’un marqueur culturel du bocage normand (XVIe-XXe siècle)
1 – Bibliothèque municipale de la ville d’Avranches, ms. 206 – recherche de Léopold Delisle, milieu du XIXe siècle.
Car à la verité, sans ce grain (le bled noir) qui nous est venu depuis soixante ans, les pauvres gens de ce païs auroiét beaucoup à souffrir, combien qu’il amaigrisse fort la terre. (sic)
Noël du Fail – Château Létard – 1585 – Conte et discours d’Eutrapel
Noël du Fail dans les contes et discours d’Eutrapel – 1585
atteste de la culture du blé noir au début du XVIe siècle sur notre territoire
Situation géographique

Carte napoléonienne du XIXe siècle (1812). Source : AD 35
Contes et discours d’Eutrapel – Noël du Fail et le blé noir
Découvrez cette culture de l’identité bretonne attestée ici par l’écrivain Noël du Fail, dès le début du XVIe siècle. Noël du Fail, conseiller au parlement de Bretagne, écrivait de son manoir de Château-Létard en la paroisse de Saint-Erblon, au bord de la rivière Seiche. Il eut en partage de la terre de la Hérissaie en Pleumeleuc, dont il joignit le nom au sien. En 1547, il publie à Lyon, Les Propos Rustiques, puis en 1548, un petit livre du même type intitulé Baliverneries.
L’inspiration de Du Fail n’est pas la fantaisie, comme le fait Rabelais avec une satire incisive des moeurs de son temps. Tout au contraire il s’agit pour du Fail de dessiner fidèlement les scènes et les personnes qu’il observe. C’est un chance pour nous car il nous apporte un témoignage essentiel sur l’introduction de la culture du blé noir sur notre territoire. En 1585, il publia la première édition des Contes d’Eutrapel. En page 134 et 135, il précise « un fardeau de bled noir appellé en aucuns lieux, froment noir ou Sarrasin… » « Car à la verité, sans ce grain qui nous est venu depuis soixante ans, les pauvres gens de ce païs auroiét beaucoup à souffrir, combien qu’il amaigrisse fort la terre. » « sic »


Transcription du texte original ci-contre
« Car les Apoticaires en sont ven là, qu’ils ne veulent souffrir que les Medecins voient les ingrediens de la medecine ordonee, disans qu’il leur feroit tort, si on ne s’en fioit en eux : Mais ils ne savent qu’ils disent , & errent en cela, come aussi aux plantes & graines nouvelles qu’on leur aporte, leur attribuant facultez et puissances admirables, où ils ne trouvent rien du tout. Tesmoin un Droguiste de Lion, qui envoia à fèu Champenois docte Apothicaire de Rennes, un fardeau de bled noir, appellé en aucuns Ìieux froment noir ou Sarrasin, avec entiere description de ses qualitez mirifiques , & le pris, qui estoit d’un escu la livre. Mais la piperie congneue, on luy renvoia son paquet, & que s’il en vouloit envoier querir, il luy en fourniroit dix mille charges de cheval, à un escu piece. Car à la verité, sans ce grain qui nous est venu depuis soixante ans, les pauvres gens de ce païs auroiét beaucoup à souffrir, combien qu’il amaigrisse fort la terre ». (sic)
Les Contes et discours d’Eutrapel. Par le feu Seigneur de la Herissaye, gentilhomme breton [Noël Du Fail] / Ridentem quid vetat dicere verum ? Le ris n’empesche pas qu’on ne die verité. ; Horatius. Omne tulit punctum qui miscuit utile dulci. Qui profite & qui plaist a gagné tout l’honneur. Quinpercorentin [i.e. Paris, Jean Richer]. Auteur : Du Fail, Noël (1520?-1591). Éditeur : À Rennes, pour Noël Glamet, de Quinpercorentin [i.e. Paris, Jean Richer].Date d’édition : 1585, citation des pages 130 et 131 source : BnF – Gallica
Vous souhaitez en savoir plus, sur la partie balade de la modernité aux champs autour des enjeux agricoles et environnementaux alors venez à la rencontre des agriculteurs bio de notre commune. Ils seront assistés dans l’organisation par les membres citoyens du Conseil participatif et de la commission ad hoc.
La situation sanitaire reste aléatoire et il est trop tôt à ce jour pour préciser les modalités de visite en groupes (en plein air). Nous avons donc développé ce texte pour ceux qui souhaiteraient, – pour garder les distances -, suivre la balade également à partir de leurs smartphones ou la préparer. Il y a tellement tant à dire ! Lors de la balade, on vous en dira plus encore sur la géologie, la biodiversité, l’histoire et le blé noir, au travers de la découverte de ces espaces peu connus.
Et Bientôt,
suivez nos futures publications sur nos autres écobalades pont-péannaises et activités de septembre
le samedi 18/09 après-midi écobalade#3: « la clean walk pont-péannaise » dans le cadre de la journée mondiale WCUD 2021
et en plus du 5 septembre avec « Voyage dans mon jardin au naturel », le samedi 18 matin, l’écobalade « Le Tellé retrouve ses droits », le marché du samedi 18 de 9:30 à 14:30, mais aussi le ciné débat du 16 septembre à l’espace Beausoleil de Pont-Péan. On vous en dit plus prochainement. Réservez déjà ces dates sur votre calendrier !
